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EXTERIOR IDENTIFICATION AND CLARIFICATION  OF THE MAIN ENTRANCE TO MONTRÉAL'S PLACE DES ARTS

Urbanism and the “cultural axis”

In the first instance, this scheme focuses effort upon reinforcing Montréal’s “cultural axis”. A 19m long, billboard-like glass construction is symmetrically related to both Complexe Desjardins and Salle Wilfred Pelletier, both of which are organized along the “cultural axis”. From the entrance of Complexe Desjardins, one sees the axially positioned Salle Wilfred Pelletier through the axially positioned construction. Conversely, from Salle Wilfred Pelletier on the elevated plaza, one sees the axially positioned entrance to Complexe Desjardins through the structure.

 

Contextual insertion and inevitability

The construction is carefully aligned in both plan and in height with the horizontally configured volume of the neighbouring Théâtre Maisonneuve. Its mullion-less glass wall refers to the structural glass wall of Complexe Desjardins. Contextual clues that have shaped the construction provide it with a sense of inevitability.

Glass Clapboard

The construction is a double-sided volume with glass panels stacked like clapboard shingles. This permits the glass to demonstrate its thickness as a tectonic attribute, assigning it a palpable material personality.

 

Structure        

A pair of twin steel W sections that act as columns, support the construction and rest directly upon the existing concrete column grid. These columns as well as the steel structure that supports the glass wall are voided within the construction to allow for movement along steel gantries and to maximize transparency. 

Typography and Images

Within the structure, transparent PVC track attachments run the entire length of each horizontal band of glass, allowing for the insertion of large letters. Because words may be read on both glass walls, and therefore also directed to the users of the plaza, a dynamic interaction of typography in urban space becomes possible. Images on rigid surfaces may also be placed within these tracks.

Artificial light and the city

Two horizontal rows of high output fluorescent tubes resting on each of the accessible platforms and positioned between the structure and the glass light the construction in the evening. These tubes are wired to a programmable console controlled from inside. This enables Place des Arts to put on a limitless number of evening light shows ranging from the spectacular to the subtle.

 

Machine

In the end, the construction can be thought of as a multi-disciplinary “machine” conceived as a canvass for limitless possibility. It’s chameleon-like, provisional skin can acquire and shed its image as per client requirements. Its grand scale clarifies the rue Ste-Catherine entrance to Place des Arts with muscular physical and symbolic presence. In so doing it reestablishes Place des arts’ iconic cultural stature in Montreal.

 

Client: Place des arts

Location: Montréal

Realisation: Hal ingberg, architect + Ary Alavanthian, industrial designer + Stéphane Huot, graphic designer

Team: Ary Alavanthian, Jean-Pascal Beaudoin, Stéphane Huot, Hal Ingberg

Structural design consultant: Luc Dumais of Dessau Soprin

Budget: $410,000

Competition finalist

L’urbanisme et l’ « axe culturel »

En premier lieu, ce projet concentre ses efforts afin de renforcer l’ « axe culturel » de Montréal. Une construction en verre de 19m de long, s’apparentant à un panneau d’affichage, entretient une relation de symétrie tant avec le Complexe Desjardins qu’avec la Salle Wilfrid Pelletier, lesquels s’installent tous deux le long de l’ « axe culturel ». Depuis l’entrée du Complexe Desjardins, l’on voit la Salle Wilfrid Pelletier, positionnée de façon axiale, à travers la construction, positionnée de façon axiale. À l’inverse, depuis la Salle Wilfrid Pelletier, sur l’esplanade surélevée, l’on voit l’entrée du Complexe Desjardins, positionnée de façon axiale, à travers la structure.

 

Insertion contextuelle

La construction est minutieusement alignée, tant en plan qu’en hauteur, avec le volume à l’organisation horizontale du Théâtre Maisonneuve avoisinant. Ses parois de verre sans meneaux font référence aux parois de verre structurales du Complexe Desjardins. Les indices contextuels qui ont donné forme à la construction lui confèrent un sentiment d’inévitabilité.

 

Déclin de verre

La construction est un volume à deux faces avec des panneaux de verre empilés tels des bardeaux. Ceci permet au verre d’exposer son épaisseur en tant qu’attribut tectonique, ce qui lui confère une personnalité matérielle palpable.

 

Structure

Une paire de profilés W en acier agissant comme colonnes, supporte la construction et repose directement sur la trame existante de colonnes de béton. Ces profilés, de même que la structure d’acier qui supporte la paroi de verre, sont évidés à l’intérieur de la construction, afin de permettre le mouvement le long de passerelles en acier et pour maximiser la transparence.

 

Typographie et images

À l’intérieur de la structure, des rails transparents en PVC courent sur toute la longueur de chacune des bandes de verre horizontales, permettant l’insertion de grandes lettres. Puisque des mots peuvent être lus sur les deux parois de verre, s’adressant ainsi également aux usagers de l’esplanade, une interaction dynamique de typographie dans l’espace urbain devient possible. Des images sur des surfaces rigides peuvent aussi être installées sur même ces rails.

 

La lumière artificielle et la ville

Deux rangées horizontales de tubes fluorescents de haut voltage, s’appuyant sur chacune des plate-formes accessibles et positionnées entre la structure et le verre, éclairent la construction en soirée. Ces tubes sont reliés à une console programmable contrôlée depuis l’intérieur. Ceci permet à la Place des Arts d’organiser un nombre illimité de spectacles lumineux en soirée, allant du grandiose au subtil.

 

Machine

Finalement, la construction peut être considérée comme une « machine » multidisciplinaire, conçue en tant que canevas aux possibilités illimitées. Son revêtement provisoire, tel la peau d’un caméléon, peur acquérir et se défaire de son image selon les exigences du client. Son échelle imposante clarifie l’entrée sur la rue Ste-Catherine de la Place des Arts à l’aide d’une présence physique et symbolique robuste. Ce faisant, elle rétablit le statut emblématique de la Place des Arts à Montréal.

Client : Place des arts

Lieu : Montréal

Réalisation : Hal ingberg, architecte + Ary Alavanthian, designer industriel + Stéphane Huot, designer graphique

Équipe : Ary Alavanthian, Jean-Pascal Beaudoin, Stéphane Huot, Hal Ingberg

Consultant en structure : Luc Dumais de Dessau-Soprin

Enveloppe budgétaire : 410 000$

Concours provincial : Finaliste

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